trouvé ici.
Bon, OK, Mickey et Arnie se débrouillent pas trop mal pour la prog’.
Ils dégottent une trentaine d’artistes dont Creedence Clearwater Revival, Tim Hardin (venu en voisin), Jimi Hendrix, Crosby, Stills, Nash and Young, The Band (voisins également), The Who, Janis Joplin, et leur petit raout, censé accueillir 50 000 personnes, tourne à l’orgie et rassemble près de 450 000 foncedés qui fanfaronnent pendant trois jours durant, à demi nus, fustigeant le grand capital et les méchants -l’Amérique en tête, qui s’embourbe au Vietnam.
Pour peu qu’on ait bu quelques coups, ça doit être sympa et un peu grisant. Mais est-ce une raison pour écrire aujourd’hui comme Paul Quinio (dans l’édition du 15 août de Libération), quarante ans plus tard, et certainement attaqué par le soleil, ces quelques phrases dans un édito « spécial Woodstock », intitulé « Magie » (LOL) :
« Car si personne ne peut sérieusement contester que les années 60 ont changé le monde, il est malheureusement peu probable que du chaos économique planétaire d’aujourd’hui sorte un autre monde.
Il est au contraire à craindre que passé le pic de la crise, tout repartira, en 2010, en 2011, comme avant. Les puissances économiques et financières en tout cas s’y emploient.
Et elles n’ont face à elles aucune jeunesse capable de leur montrer ses fesses, d’opposer à leurs bilans bancaires et autres plans sociaux une utopie de remplacement. »
trouvé ici (rue89/les inrocks)
ah Woodstock…
tout le monde en parle: et c’est très bien ainisi!!
les concerts, l’ambiance, le bordel…
le top, sans sans doute, c’était l’espoir que le monde allait changer en bien.
il ne tient qu’à nous de le remettre au goût du jour.
bien @ vous,
nicogé le colporteur
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